1800 - Le siège de Gênes
Petit rappel sur ce siège des temps jadis.
tarafından Napolerick
10 konular
1. Le 22 décembre 1799, Masséna devient le chef d’une armée d’Italie sinistrée. Typhus, variole, famine, manque d’armes et d’uniformes, moral en berne. Certains désertent et rejoignent des bandits-partisans :
a Les Enfants du Soleil
b Les Damnés de la Nuit
c Les Spectres de l’Aube
d Les Fils du Crépuscule
2. Après avoir fait les réquisitions nécessaires à Marseille et puni les déserteurs à Fréjus et Grasse, il s’établit à Nice. Les Autrichiens passent à l’action. Mésentente avec Suchet. Masséna s’enferme dans Gênes, ville de :
a 20.000 habitants
b 70.000 habitants
c 120.000 habitants
d 170.000 habitants
3. Les forces bloquées de Masséna se montent à environ :
a 12.000 hommes
b 18.000 hommes
c 24.000 hommes
d Ça, on sait pas !
4. Les Français sont opposés sur la terre aux Autrichiens et sur la mer aux :
a Russes
b Danois
c Anglais
d Hollandais
5. Qui commande les adversaires terrestres de Masséna ?
a Le général Ott
b Le général Köhl
c Le général Pawels
d Le général Müssing
6. Un ami d’enfance de Masséna parvient à franchir le blocus et s’amène dans Gênes avec cinq jours de vivre qu’on arrive à faire tenir deux semaines !
a Bavardo
b Bavastro
c Balourdo
d Baliverno
7. Quel chef de division répond aux ennemis « Les Français ne se rendent pas tant qu’ils peuvent tenir un fusil ! » ?
a Hulin
b Lannes
c Bessières
d Gardanne
8. Que dit Masséna en montrant ses soldats qui crèvent de faim ?
a « Ce n’est rien de grave ! »
b « C’est toujours ça de moins à solder ! »
c « Je leur ferai manger jusqu’au cuir de mes bottes ! »
d « Quand je pense à ce que j’ai dans ma gamelle, c’est bon d’être le chef ! »
9. Le prêtre Bernardo croise Masséna et lui dit mourir de faim. Que lui répond le général ?
a « Demandez à Jésus de nous apporter du poisson et du pain ! »
b « Vous êtes bien gras, mon père, prenez garde, c’est dangereux ! »
c « Pour un prélat, vous participez beaucoup aux souffrances terrestres ! »
d « Vous qui êtes de la partie, faites-nous un miracle et je vous obtiens la croix ! »
10. Le 4 juin 1800, à cause de la famine, Masséna, enragé contre « le jeanfoutre de Bonaparte » qui l’a « foutu dans la merde », signe la fin des combats. Et voilà la suite :
a Les assiégés sont tous internés à Pise et libérés par le Veau Marengo
b Les Français sont presque tous massacrés par les Génois et les Autrichiens
c Les Français rentrent chez eux avec leurs drapeaux, leurs armes et leurs bagages
d Les blessés et les malades sont laissés à Gênes et le reste part en captivité en Haute-Croatie