Marivaux - « L’Île des esclaves » comme si on y était !
Théâtre classique de l’ancienne France. On rit, on rit !
tarafından Napolerick
10 konular
1. A cause de quoi Arlequin et son maître se retrouvent sur l’Île des esclaves ?
a Naufrage
b Mutinerie
c Commerce
2. D’ailleurs, comment s’appelle ce maître ?
a Nestor
b Iphicrate
c Aristagoras
3. Quand il comprend où il se trouve, il craint de ne jamais revenir à :
a Thèbes
b Athènes
c Mycènes
4. Trivelin, responsable du canton pour la République, apprend à ce maître déchu le temps que le système mis en place par les esclaves pour faire comprendre leurs torts aux maîtres prend :
a Trois ans
b Douze ans
c Toute la vie !
5. L’esclave Cléanthis s’en prend à sa maîtresse, la nommée :
a Eunice
b Eurydice
c Euphrosine
6. Que ne dit pas Arlequin quand il dresse le portrait de son maître dans la scène V ?
a « Bon emprunteur, mauvais payeur ! »
b « Honteux d’être sage, glorieux d’être fou ! »
c « Philosophe de taverne, bonnet d’âne au lycée ! »
7. Que ne dit pas la maîtresse, qui commence enfin à changer de mentalité, à Arlequin ?
a « Fais-moi évader, je promets de calmer tes ardeurs de mâle ! »
b « Tu es devenu libre et heureux, cela doit-il te rendre méchant ? »
c « Je ne t’ai jamais fait de mal, n’ajoute rien à celui que je souffre ! »
8. Que répond Arlequin lorsque son maître le menace d’une punition des dieux ?
a « Oh ! Tu crois aux dieux uniquement quand cela arrange tes affaires ! »
b « Eh ! De quoi veux-tu qu’ils me punissent ? D’avoir eu mal toute ma vie ? »
c « Ah ! Nous ne sommes plus au temps de l’obscurantisme, monsieur le butor ! »
9. A la scène X, Cléanthis bat le rappel de ses griefs contre :
a « Tous les Fillon de la Terre ! »
b « Messieurs les honnêtes gens du monde ! »
c « La fine fleur malodorante des aristocraties planétaires ! »
10. Le dernier mot d’Arlequin à Cléanthis :
a « Baissez votre jupette afin que je me réjouisse l’œil ! »
b « Mettez-vous à genoux pour être encore meilleure qu’elle ! »
c « Ouvrez la bouche, dite un merci et faites votre office en silence ! »